les données du marché français de l’assurance décès

L’assurance décès

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Ce que l’on appelle l’assurance décès, c’est une des branches de la prévoyance : le but est de payer une cotisation, afin que les proches puissent profiter d’une indemnité par la suite, par exemple sous la forme d’un capital décès, qui sera versé aux bénéficiaires. Dans l’assurance décès, on peut aussi trouver ce que l’on appelle la convention obsèques. L’objectif est d’offrir des produits à même de mettre les proches à l’abri au moment du décès du souscripteur, afin de régler tous les frais inhérents aux obsèques, qui sont parfois importants. Il a été calculé que 10 000 milliards d’euros font office de lacune dans ce domaine, en Europe. Qui est concerné ? Quels sont les acteurs de cette branche particulière de l’assurance ?

Quelques chiffres éloquents

Il a été remarqué une certaine méconnaissance de l’assurance décès, aussi bien en France qu’au sein de l’Europe. Elle est inférieure à 20% sur notre territoire, et elle est confondue parfois avec l’assurance vie par exemple, ou avec d’autres produits de la prévoyance. Souvent, c’est par le biais d’une proposition que les souscripteurs acceptent ces contrats d’un genre particulier. En effet, il est rare que la démarche soit totalement volontaire de la part des personnes concernées. Il est vrai qu’il est parfois difficile de communiquer sur des sujets aussi complexes, tout en restant politiquement correct.

L’assurance décès n’est pas facile à aborder donc, puisqu’elle met le futur assuré dans un contexte un peu sombre, celui de son propre départ, et de ce que cela pourra engendrer autour de lui. Ainsi, il est assez complexe d’évoquer la convention obsèques par les futurs assurés, qui n’ont pas spécialement envie de se projeter dans cette situation. Cela a tendance à heurter les sensibilités, alors qu’il s’agit d’un produit intéressant, visant à mettre à l’abri nos proches en cas de problème inopiné, qui pourrait les mettre dans l’embarras sur le plan financier.